Fabien et Carole

El Calafate / Punta Arenas

dimanche 14 octobre 2007 par fabien eloy

lundi 8 octobre

Lever encore tot pour prendre de nouveau le bus à 8h30 au teminal (10 min à pied) Direction de nouveau Puerto Natales. Le meme trajet dans l’autre sens, le meme passage frontiere, les chiliens nous font ouvrir les sacs .. Arrivèe vers 12h30 à Puerto Natales, nous nous pointons vers le meme hotel. Manque de bol pas de place, nous allons voir ailleurs. Cependant, les autres sont chers et pas si bien que ca. Tant pis, nous changeaons de plans et decidons d’aller en fin d’apres midi directement à Punta Arenas. Le programme avant est de prendre le ticket de bus, laissons les sacs au bus puis prenons un taxi pour le musee de la fabrique Bories, fabrique de laine de moutons. Le taxi ne connait pas, ils nous laissent au dessus du musèe. Nous traversons de fait un champ de mouton pour arriver devant la pore du musèe fermèe. Un mec accourt. Il ouvre la porte et nous donne un petit magneto aisni qu’un plan pour visiter les restes de l’usine. Le petit train qui faisait les 4km depuis la ville n’exsite plus. Des ruines, le batiment principal encore en etat mais vide, la salle des machines en etat et un pauvre petit mouton enfermè dans al salle de fondage de graisse, le pauvre, enfermè par un coup de vent ... C’est interressant mais assez pauvre en chose à voir. Le seul interet est que ca a ete la plus grande usine du coin dans l’industrie du mouton. Nous revenons à pied en plein vent mais dans le dos. Une bonne heure de marche dans le froid ca entretient. Petit chocolat juste de prendre le bus pour Punta Arenas à 17h. 3h de route.

Nous arrivons vers 20h, apres avoir traverser un paysage desertique. Nous sommes en face d’hospedaje, pas terrible. Plus loin non plus et sinon des hotels. Nous tentons en dernier recours un truc d’alojamiento. Des vieux nous ouvrent. Ils ne savent plus qui est dans les chambres. Ils degagent un mec pour nous laisser la chambre double. Ca pue le pipi de chat, et pour de vrai. Le chauffage à gaz laisse à desirer. Tant pis on verra demain. Nous allons manger un peu de force dans un snack tenu par son fils ou sa fille, on ne sait pas. En tout ca c’est bon heureusement. Nous descendons qd meme jusque la place pour voir les cordes où se tiennent les gens par grand vents : y’en a pas ... dodo


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